Détails: Auteur : Miguel SzymanskiNombre de pages : 352Prix : 8,50 €
Edition : J'ai Lu
Genre : Policier
Résumé : Au Portugal, tout est négociable. Même une agression.Marcelo Silva, ayant quitté le journalisme et l'Allemagne où il était correspondant, est de retour au Portugal.Pour lutter contre la corruption de l'élite financière et politique qui a mené son pays au bord de la ruine, il a choisi " le glaive à la lame affûtée plutôt que la plume rouillée ".Nommé à la tête d'une brigade spécialisée, le voilà aussitôt confronté à la disparition d'un millionnaire lié à un énorme scandale sur le point d'éclater. Pendant dix jours, il va parcourir Lisbonne inondée de touristes à la recherche du banquier déchu.Naviguant entre filles de bonne famille et politiciens corrompus, hommes de main et réseaux de prostitution, Marcelo nous emmène dans un voyage au-delà des apparences et révèle ce qui se cache derrière la vitrine de la " ville aux mœurs douces ".Avec ce roman noir kaléïdoscopique, Miguel Szymanski expose le dessous des cartes dans un jeu de massacre salutaire et réjouissant.Premier tome d'une série mettant en scène un ancien journaliste reconverti en chef de brigade financière, ce roman noir lève le voile sur les dessous de la crise financière au Portugal et brosse un tableau de ce pays loin des clichés.
Mon avis :Je découvre cet auteur grâce à l'opération masse critique "Mauvais genre" de Babelio et aux éditions J'ai Lu que je remercie beaucoup.Le thème principal de ce roman est la corruption. Pour le traiter nous faisons connaissance avec Marcelo Silva, journaliste en Allemagne mais Portugais de retour. Il va être à la tête d'une brigade spéciale pour lutter contre la corruption afin de permettre à son pays de retrouver une économie plus forte, entre autres.On assiste à l'enlèvement d'un homme influent et rapidement, pour avoir lu pas mal de polars, on peut deviner qui a fait le coup. Mais l'écriture de l'auteur permet de garder du suspens et un fil conducteur tout au long des 350 pages.Un roman qui se lit bien et qui permet de découvrir la ville de Lisbonne, cela donne envie de voyager d'ailleurs. J'ai aussi été attentive aux descriptions sur cet univers de la finance que je ne connais pas du tout ou presque.On ressent le côté journalistique de l'auteur car j'ai trouvé assez peu de sentiments comparés à toutes les informations distillées. Comme si son personnage restait en retrait de ce qui se passe. Ce roman noir est criant de vérité et laisse à penser que les Etats sont tous plus où moins touchés par les magouilles et autres arrangements plutôt litigieux. Mais qui sommes-nous pour juger de cela n'est-ce pas ?Il m'a fallu un peu de temps au début pour m'acclimater dans l'univers et avec les personnages mais finalement c'est une lecture très sympa qui change de ce que je lis habituellement en polar. Il y a des moments plus sombres mais je retiens surtout ce que j'ai pu apprendre sur le Portugal et sur le monde des affaires. Un livre qu'on a envie de lire d'une seule traite pour ne pas perdre le fil et pour savoir si notre intuition est bonne sur le coupable évidemment !Bonne lecture !
Edition : J'ai Lu
Genre : Policier
Résumé : Au Portugal, tout est négociable. Même une agression.Marcelo Silva, ayant quitté le journalisme et l'Allemagne où il était correspondant, est de retour au Portugal.Pour lutter contre la corruption de l'élite financière et politique qui a mené son pays au bord de la ruine, il a choisi " le glaive à la lame affûtée plutôt que la plume rouillée ".Nommé à la tête d'une brigade spécialisée, le voilà aussitôt confronté à la disparition d'un millionnaire lié à un énorme scandale sur le point d'éclater. Pendant dix jours, il va parcourir Lisbonne inondée de touristes à la recherche du banquier déchu.Naviguant entre filles de bonne famille et politiciens corrompus, hommes de main et réseaux de prostitution, Marcelo nous emmène dans un voyage au-delà des apparences et révèle ce qui se cache derrière la vitrine de la " ville aux mœurs douces ".Avec ce roman noir kaléïdoscopique, Miguel Szymanski expose le dessous des cartes dans un jeu de massacre salutaire et réjouissant.Premier tome d'une série mettant en scène un ancien journaliste reconverti en chef de brigade financière, ce roman noir lève le voile sur les dessous de la crise financière au Portugal et brosse un tableau de ce pays loin des clichés.
Mon avis :Je découvre cet auteur grâce à l'opération masse critique "Mauvais genre" de Babelio et aux éditions J'ai Lu que je remercie beaucoup.Le thème principal de ce roman est la corruption. Pour le traiter nous faisons connaissance avec Marcelo Silva, journaliste en Allemagne mais Portugais de retour. Il va être à la tête d'une brigade spéciale pour lutter contre la corruption afin de permettre à son pays de retrouver une économie plus forte, entre autres.On assiste à l'enlèvement d'un homme influent et rapidement, pour avoir lu pas mal de polars, on peut deviner qui a fait le coup. Mais l'écriture de l'auteur permet de garder du suspens et un fil conducteur tout au long des 350 pages.Un roman qui se lit bien et qui permet de découvrir la ville de Lisbonne, cela donne envie de voyager d'ailleurs. J'ai aussi été attentive aux descriptions sur cet univers de la finance que je ne connais pas du tout ou presque.On ressent le côté journalistique de l'auteur car j'ai trouvé assez peu de sentiments comparés à toutes les informations distillées. Comme si son personnage restait en retrait de ce qui se passe. Ce roman noir est criant de vérité et laisse à penser que les Etats sont tous plus où moins touchés par les magouilles et autres arrangements plutôt litigieux. Mais qui sommes-nous pour juger de cela n'est-ce pas ?Il m'a fallu un peu de temps au début pour m'acclimater dans l'univers et avec les personnages mais finalement c'est une lecture très sympa qui change de ce que je lis habituellement en polar. Il y a des moments plus sombres mais je retiens surtout ce que j'ai pu apprendre sur le Portugal et sur le monde des affaires. Un livre qu'on a envie de lire d'une seule traite pour ne pas perdre le fil et pour savoir si notre intuition est bonne sur le coupable évidemment !Bonne lecture !