The Mafia Chronicles, Tome 3 : Bound by Hatred de Cora Reilly

Par La Chronique Des Passions

Elle est prête à tout pour sa liberté. Il est prêt à tout pour qu'elle lui appartienne.

Quand Gianna voit sa sœur épouser un homme qu'elle connaît à peine, elle se promet que jamais il ne lui arrivera la même chose : si elle doit se marier, ce sera uniquement par amour ! Sauf que Matteo Vitiello désire Gianna depuis qu'il l'a vue au mariage de son frère, et le père de cette dernière est plus que disposé à lui accorder sa main.

Gianna n'a qu'une seule solution : s'enfuir et commencer une nouvelle vie en Europe. Mais rester cachée alors que la mafia la recherche est un défi de taille, surtout que Matteo, son poursuivant, s'avère être leur meilleur traqueur et assassin.

Lorsqu'elle est finalement retrouvée, Gianna est ramenée de force chez elle et contrainte d'épouser son sombre soupirant. La jeune femme est bien décidée à faire de sa vie un enfer, tandis que Matteo ne reculera devant rien pour la posséder. Leur lutte de pouvoir tourne bientôt en nuits passionnées alimentées par le désir... et par la haine.

Une suite tout aussi bonne mais j'avoue que le personnage de Matteo m'a déplu.

Ok on est dans un milieu mafieux et on a un MEC - un vrai - mais franchement le postulat de départ est quand même un homme qui décide qu'il aura une femme et qui se l'approprie comme si elle était un objet. Ladite femme part ou plutôt s'enfuit pour échapper à son destin. Matteo la retrouve et là elle ne peut que l'épouser ou mourir...je crois que je suis trop féministe pour ce type de romance.

Alors, Gianna a le bon goût de tomber amoureuse de lui. Tant mieux car sinon la romance aurait été très glauque avec ce désir masculin qui annihile la liberté de choix de cette femme.

Après j'ai réussi à faire abstraction de ce gros bémol mais cette romance n'aura pas la même saveur que les autres.

- Tu ne peux pas les comparer. C'est un peu comme si elles étaient de deux espèces différentes. Et j'ai une confiance absolue en Aria. Elle a pris une putain de balle pour moi.

- Tu as de la chance, marmonné-je. Gianna aurait probablement applaudi celui qui m'aurait tiré dessus