Emma Peel Bottes de cuir contre chapeau melon - Stephen Sarrazin

Emma Peel Bottes de cuir contre chapeau melon  Stephen Sarrazin

Emma Peel Bottes de cuir contre chapeau melon - Stephen Sarrazin
Les impressions nouvelles
Collection : la fabrique des héros
Pages : 104
Isbn : 9782390700159
Prix : 13 €
Présentation de l'éditeur
En 1965, dans l’épisode bien nommé The Town of No Return de la série déjà culte Chapeau melon et bottes de cuir (The Avengers), une certaine Emma Peel fait son apparition. Incarnée par une actrice de théâtre remarquée, la sublime Diana Rigg, c’est elle qui impose le fétichisme de ses longues bottes de cuir, balaie d’un regard incendiaire tous les autres personnages de la série, forme un inoubliable et sulfureux duo avec le flegmatique John Steed (Patrick Macnee). Cinquième partenaire de l’agent Steed, la jeune femme intrépide devient instantanément une immense icône de la culture pop des années 60.
Sa personnalité flamboyante cristallise à jamais l’esprit de son époque : l’effervescence du swinging London, le baroque des James Bond, la révélation des arts martiaux asiatiques, l’enthousiasme pour la physique quantique, l’insolence de la mode vestimentaire et, bien sûr, la libéralisation sexuelle. Car, faut-il le rappeler, Emma Peel est d’abord un jeu de mots avec «Man appeal». À travers ses audaces, jamais femme n’a été aussi fatale.
L'avis de mon mari
Petit livre de la collection ‘La Fabrique des Héros’, il est sous-titré ‘Bottes de cuir contre chapeau melon’ en référence bien sûr à la célèbre série britannique des années 60, Chapeau Melon et Bottes de Cuir (The Avengers en anglais).
Le Chapeau melon, c’est John Steed joué par Patrick Macnee, un British pur jus, flegmatique, élégant et qui s’entoure de jolies femmes dont Bottes de Cuir, Emma Peel jouée par Diana Rigg.
Le livre se focalise donc sur Diana Rigg et son rôle de sex symbol (man appeal - Emma Peel) dans la Grande-Bretagne des années Beatles, Kinks et Rolling Stones.
Il nous donne aussi pleins de détails sur le tournage de plusieurs épisodes, cela donne envie d’en revoir certains.
On aurait aimé peut-être plus d’ancrage dans le UK des 60’s d’un point de vue politique et social. Aussi plus de développement des influences que la série a exercées sur d’autres séries et films bien au-delà des années 60; les épisodes ayant été diffusés encore longtemps sur diverses chaînes au cours des décennies suivantes.
Cela se lit donc rapidement sans déplaisir mais avec parfois un goût de trop peu sur certains sujets ou de trop notamment dans les ‘making of’ des épisodes à moins d’être un fan inconditionnel.
Sa note :  7/10